Jeudi, 18 Avril 2024
finale cpe de la ligue 2013-14
Écrit par Administrator    Mercredi, 19 Février 2014 17:57    PDF Imprimer Envoyer

finale coupe de la ligue 2013-2014

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En dominant dans la douleur Troyes (2-1), mercredi soir, l’OL affrontera le PSG en finale de la Coupe de la Ligue, le 19 avril, au Stade de France. En l’absence de Grenier et Gourcuff, Lacazette a pris les choses en mains en étant impliqué sur les deux buts.

C’est une évidence, l’OL a absolument besoin de ses deux créateurs Yoann Gourcuff et Clément Grenier s’il veut finir européen ou encore remporter la Coupe de la Ligue contre le PSG, le 19 avril. Les Gones recevront d’ailleurs les Parisiens le weekend précédent et devront l’emporter au Stade de France pour s’assurer un ticket pour la Ligue Europa avant même les 5 dernières journées de Ligue 1 (une victoire parisienne rendrait la 5e place européenne). Sinon, la victoire contre l'OM en quarts et celle face à Troyes (2-1), mercredi soir à Gerland, n’auront servi à rien…

Sans ses deux milieux offensifs (le formé au club suspendu, l’ancien Bordelais blessé), Rémi Garde a au moins pu compter sur un Alexandre Lacazette toujours aussi brillant. Repositionné en numéro 10 du 4-3-1-2 du moment, l’attaquant de 22 ans a parfaitement repris un centre en retrait de Zeffane sur l’ouverture du score (1-0, 16e). Sur le but du break, il a lancé en profondeur Briand – comme un vrai meneur de jeu. Le titularisé du soir, brouillon ballon au pied mais utile dans la profondeur, centrait au premier poteau pour Gomis (2-0, 27e).

"Une belle preuve de caractère"

Les Rhodaniens n’ont néanmoins pas assuré le coup après cette demi-heure de très bonne facture. La faute à une réduction de l’écart adverse immédiate (2-1, 35e) qui a rendu les locaux plus frileux. "On est tombé sur une belle équipe et il fallait rester costaud. Le plus important, c’était la qualification. Cela permet au groupe de rester concentré, à ceux qui ont moins de temps de jeu de s’exprimer. C’est une belle preuve de caractère", analysait l’intenable Henri Bedimo, au coup de sifflet final, sur France 3. "On n'avait rien à perdre et on s’est lâché", expliquait d’ailleurs l’Aubois Ghislain Gimbert, sans trop de regrets après une 2e période dépourvue de véritable occasion pour la formation de Ligue 2.

Le but de Xavier Thiago a de quoi contrarier Rémi Garde. C'est sur un corner que le Brésilien était libre de contrôler et marquer en force en pleine surface. La passivité de la charnière Bisevac-Koné était déjà de sortie quelques secondes auparavant, obligeant Lopes à une envolée sur une reprise de Nivet (34e). L’OL accuse donc un problème défensif en ce moment, après ce but déjà encaissé sur corner à Rennes, dimanche. Pire, outre l’exclusion d’Umtiti en Bretagne, Gonalons est sorti à la mi-temps face à l'Estac, après 2 énormes pertes de balle et victime d’une "fatigue" musculaire. La récupération des cadres est déterminante pour la suite.

 

Rémi Garde disputera sa deuxième finale de la Coupe de la Ligue sur le banc lyonnais.

L’OL tient sa finale de la Coupe de la Ligue. Tombeur de Troyes en demi-finale (2-1), Lyon y défiera le Paris SG au Stade de France, fin avril. Avec une ambition toute mesurée, à en croire Rémi Garde, l’entraîneur rhodanien.

Si Lyon est décidément le grand spécialiste des demi-finales de la Coupe de la Ligue, les troupes de Jean-Michel Aulas y ayant désormais été reçues cinq sur cinq, l’OL n’affiche pas la même réussite au Stade de France. Pour une victoire en 2001 face à Monaco, les septuples champions de France en sont en effet à trois échecs (1996, 2007, 2012). Et c’est peu dire que la dernière visite au Stade de France pour l’occasion ne laisse pas de souvenirs impérissables à Rémi Garde.

"J'espère faire autre chose que de visiter le Stade de France, a ainsi expliqué l'entraîneur lyonnais à l’issue de la rencontre face à Troyes, je l'ai déjà fait une fois pour rien et dans ces moments là, c'est très dur. Par conséquent, si on peut éviter de faire comme la dernière fois, on ne s'en privera pas." Tout en faisant profil pas à l’idée de défier le PSG…

Au point de se considérer dans un premier temps comme le "Petit Poucet" de la finale. Avant de se reprendre. "J'ai dit Petit Poucet? Je suis peut-être allé un peu loin. Disons que nous ne serons pas les favoris. Ca nous arrive rarement. Mais nous n'aurons rien à perdre", de conclure l’ancien Gunner. Un discours plus en adéquation avec celui de son président ou de son capitaine. "Sur un match, tout est possible, a ainsi assuré Maxime Gonalons, c'est une finale de rêve." Encore faut-il la gagner...

sports.fr

 

 

Toutes les informations sur les offres et tarifs proposés pour le déplacement au Stade de France pour la finale de la coupe de la Ligue OL - PSG, le samedi 19 avril à 21h

Places sèches

Grand Public

  • 2 places maximum par personne.
  • Présentation impérative de la carte d'identité originale des porteurs.
  • En vente depuis le 18 mars aux guichets et sur la billetterie en ligne

Groupes de supporters

  • Renseignements et inscriptions uniquement auprès de votre responsable de Groupe.

Pour les abonnés

  • 3 places maximum par personne
  • Exclusivement sur olweb.fr du lundi 3 mars jusqu’au dimanche 9 mars inclus
  • Billetterie OL Store Gerland + olweb.fr à partir du lundi 10 mars au dimanche 17 mars inclus.

 

 

Packs « déplacement + place » avec OL Voyages

Les offres « Pack déplacement + place » sont déjà en vente pour les abonnés et dès le 5 mars pour le Grand Public sur le site d’OL Voyages.

  • Déplacement AUTOCAR - TRIBUNE INTER (catégorie 5) - Prix : 105 €
  • Déplacement AUTOCAR - TRIBUNE BASSE (catégorie 5) - Prix : 105 €

Déplacement TGV -: formule annulée. Merci de contacter directement OL Voyages avant le 31 mars pour connaître les modalités de changement ou remboursement.

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source olweb.fr

image lfp et olweb fr

 

Le ballon officiel Uhlsport change de look à l'occasion de la 20e finale de la Coupe de la Ligue. Les coutures traditionnelles ont notamment disparu pour laisser la place à 22 panneaux soudés entre eux pour permettre une absorption d’eau extrêmement faible et une mémoire de forme d’un niveau exceptionnel, précise la LFP.

Capture
sport24

Ibra absent, Gonalons satisfait

18/04 16h43 - Football, CdL

Le milieu de terrain et capitaine de Lyon, Maxime Gonalons, a estimé vendredi que l'absence de l'attaquant parisien Zlatan Ibrahimovic de la finale de la Coupe de la Ligue aura un impact sur les deux équipes. : «Forcément, l'absence de Zlatan a un impact sur l'équipe de Paris dont il est le buteur et le passeur providentiel. Mais quand il n'est pas là, il a aussi un impact sur l'adversaire, qui sait qu'il fera face à un atout offensif en moins. Quand un tel joueur de talent et si expérimenté n'est pas là, c'est toujours mieux pour l'adversaire.»

sport24

Une tribune familles en finale

1/04 16h33 - Football, CdL

La LFP a indiqué ce mardi qu’une tribune réservée aux familles sera ouverte pour la finale de la Coupe de la Ligue le 19 avril entre le Paris SG et Lyon. Plus de 1300 places seront ainsi réservées aux enfants de moins de 12 ans accompagnés d’au moins un adulte de plus de 18 ans. «Dès l’arrivée au stade, un accès et un accueil dédié et personnalisé seront mis en place. Une zone comprenant de multiples animations diverses et variées pour les enfants sera créée pour l’occasion. La restauration sera adaptée et permettra aux enfants de se restaurer avec leurs produits préférés (crêpes, gaufres, barbes à papa,…). Des animations originales seront également mises en place en tribune, sans parler des nombreuses surprises qui éblouiront les enfants dès l’ouverture des portes du stade», indique la Ligue dans un communiqué.

sport24

 

La double confrontation en Ligue Europa contre la Juventus Turin (0-1, 1-2) a fait grandir les jeunes de l'Olympique Lyonnais, qui s'attaquent au PSG ce samedi en finale de la Coupe de la Ligue (21h00).

Pour Rémi Garde, la double confrontation avec la Juve a fait grandir l'OL. (L'Equipe)

Depuis un mois, Lyon n’est, en termes de résultats, pas dans la forme de sa vie. Sur les huit derniers matches, l’OL s’est incliné à cinq reprises. Pour autant, les Lyonnais sont satisfaits de ce printemps où ils enchainent les matches à un rythme effréné tout en signant des prestations très encourageantes. En Ligue Europa contre la Juventus Turin, l’élimination a été digérée grâce à une belle qualité de jeu déployée. «Il y a eu un déclic lors de cette double confrontation, a reconnu Maxime Gonalons. Cela a été très bénéfique pour le groupe.»

«On tire forcément des enseignements positifs quand on réussi à inquiéter aussi longtemps une équipe comme la Juve»

Pour les jeunes joueurs de l’OL, ce quart de finale les a «fait grandir», est convaincu le capitaine. Rémi Garde s’en félicite lui aussi. «Des matches comme ça font forcément évoluer les joueurs et le collectif, a précisé l’entraîneur. On s’est bonifiés à travers ces deux confrontations.» Malgré l’élimination, et même si cela lui fait «bizarre» de le reconnaître, la Juve a aidé Lyon. «Avec un groupe comme le mien, qui a tant d’inexpérience, on tire forcément des enseignements positifs quand on réussi à inquiéter aussi longtemps une équipe comme la Juve.»

Paris, c’est une autre histoire. Lyon peut difficilement se reposer sur sa victoire de dimanche. «Le Championnat est une compétition qui se déroule sur une saison, assure Gonalons. Là, il n’y a qu’un seul match. Et il n’y a que la victoire qui compte.» Exemplaires à Gerland (1-0), les Gones ont conscience qu’ils vont encore devoir «sortir un gros match» (dixit Gonalons) pour espérer renverser la montagne parisienne. Un sacré défi. «En face de nous, il y a le futur champion de France. Il faudra être sacrément costauds.»

Lyon ne risque pas de prendre Paris de haut

Pour Garde comme pour le milieu défensif, ces deux matches sont «à dissocier». «Non seulement ce sont deux compétitions différentes, mais dimanche nous jouions à domicile, là nous sommes à l’extérieur», a tenu à préciser le coach rhodanien, qui ne s’inquiète pas vraiment quant à un éventuel «relâchement». «Personne ne les prendra de haut. On espère rééditer cette performance. On repart de zéro, c’est la meilleure préparation pour cette finale.» Lyon en a déjà perdu trois sur quatre disputées.

francefootball


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Lyon-Paris SG 1-2
Lyon : Lacazette (56e)
Paris SG : Cavani (4e, 32)

 

Le PSG a cette fois digéré son élimination en Ligue des champions. Battu par l’OL le week-end dernier en championnat (1-0), le club de la Capitale a relevé la tête face à ces mêmes Lyonnais pour s’offrir la 4e Coupe de la Ligue de son histoire (1-2). Un vrai soulagement pour les Parisiens, en partie remis en cause après leur échec à Stamford Bridge dix jours plus tôt. Mais les voilà désormais en possession de leur deuxième trophée de la saison (après le Trophée des Champions)… en attendant un troisième, par le biais d’un championnat, qui ne devrait pas non plus leur échapper. Pourtant, au Stade de France, le Paris SG a souffert pour décrocher sa première coupe nationale sous l’ère qatarie.

Un penalty imaginaire
Le PSG, gêné par le milieu densifié des Lyonnais, ne parvenait pas à se hisser dans la moitié du terrain. Il ne lui suffisait cependant que d’une action pour trouver la faille. A la suite d’une percée côté gauche de Maxwell, qui effaçait Lopes, Cavani jaillissait devant le but et offrait une ouverture du score précoce aux siens (0-1, 4e). Un coup d’éclat qui ne décourageait pas l’OL, conquérant dans la première demi-heure, et dangereux par l’intermédiaire de Gomis (6e, 10e).Mais les hommes de Rémi Garde perdaient peu à peu le fil de la rencontre, endormis par le jeu posé de leurs adversaires. Et ces derniers, sur un long ballon de Verratti destiné à Lucas, mettaient à nouveau Lopes à la faute. Auteur d’une sortie rugueuse sur Lucas en dehors de la surface, le portier lyonnais concédait… un penalty. Une erreur d’arbitrage de M. Lannoy qui n’empêchait pas Cavani de transformer la sentence (0-2, 32e).

Lacazette n’a pas suffi
La finale de la Coupe de la Ligue s’acheminait vers une rencontre à sens unique. Dans cette optique, Cavani se voyait d’ailleurs offrir l’occasion de corser l’addition sur un caviar de Lucas. Mais l’Uruguayen, bien que rassuré auparavant par son sens de la finition, loupait complètement sa frappe (36e). Un échec guère anodin puisque l’OL restait en vie dans la partie. En ce sens, Rémi Garde choisissait de faire basculer son 4-4-2 en losange à un 4-3-3 plus ambitieux. Mais si cela était aussitôt récompensé par la réduction du score de Lacazette, buteur sur une belle frappe aux 20 mètres (1-2, 56e), les assauts suivants des Rhodaniens butaient sur le bloc parisien parfaitement en place. Une défense de fer qui permet ainsi au PSG de soulever un trophée qui lui échappait depuis 2008. A défaut d’avoir franchi un cap à l’échelle européenne, Paris pourra se consoler avec son statut - pour l’instant non contesté - de meilleure équipe de l’hexagone…

Les joueurs du match
On le disait en plein doute avant la rencontre, Edinson Cavani a finalement su faire taire les critiques à l’occasion de la finale de la Coupe de la Ligue. Buteur à deux reprises, l’Uruguayen a retrouvé son influence sur le front de l’attaque puisqu’il est impliqué sur la plupart des actions dangereuses de son équipe. Lorsqu’il a fallu tenir le score, le PSG a à nouveau pu compter sur un Alex performant. Toujours bien placé, le Brésilien a également brillé dans le jeu aérien.

On n’a pas aimé
Partie en demi-teinte pour Thiago Motta, au rendement inhabituel dans l’entrejeu. L’international de la Squadra Azurra a connu une mise en route difficile, illustrée par de nombreuses passes manquées. Il s’est tout de même repris par la suite. Décisif à Gerland le week-end dernier, Anthony Lopes est cette fois passé à travers. Fautif sur les deux buts parisiens, le portier franco-portugais s’est effondré au moment du coup de sifflet final, sans doute marqué par ses deux sorties manquées. Sur la deuxième, il pourra toutefois contester la décision de M. Stéphane Lannoy qui a désigné à tort le point de penalty.

Laurent Blanc a vu une faute

20/04 08h38 - Football, CdL

«Les Lyonnais étaient amers, s’estimant victimes de l’arbitrage ? Ils sont perdants, donc déçus, analysait Laurent Blanc, en conférence de presse. Moi je vois une faute (sur l’action qui a amené le penalty sifflé pour le PSG), je suis peut-être mal placé... Mais je ne vais pas rentrer là-dedans. C'est vrai qu'ils ont fait une très bonne seconde période. Nous avons fait un match correct jusqu'à la 55e minute. Sur le but lyonnais il y a des choses à dire. Mais je pense que la victoire de Paris n'est pas imméritée

 

Garde ironise sur l’arbitrage

20/04 09h08 - Football, CdL

«Mon sentiment ? Beaucoup de déception... Je n’ai rien à reprocher à mes joueurs. Le penalty ? J’ai déjà dit ce qu’il en était et l’ai dit  à l’arbitre M. Lannoy qui m’a remercié pour ma franchise. On perd la finale sur une erreur d’arbitrage. Je ne vais pas faire un scandale pour être suspendu comme Clément Grenier… Je suis extrêmement triste pour mes joueurs. Triste de perdre une finale sur une double erreur : il n’y avait pas faute et en plus l’action s’est passée en dehors de la surface de réparation. A quoi sert le 5ème arbitre ? Pour Toulouse, on verra si on ne peut pas s’arbitrer entre nous… C’est ce que je vais proposer à mon collègue de Toulouse», ironisait Rémi Garde après la finale de la Coupe de la Ligue, remportée par le PSG, en conférence de presse (via le site de l’OL).

sport24

Mis à jour ( Lundi, 05 Mai 2014 21:12 )
 

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